L'Etat de la France en 2017

Crise identitaire : mondialisation et multi-culturalisme

L'islamo-gauchisme

Le Bondy Blog et Mediapart

Eradication des dernières communautés juives et chrétiennes en terre sunnite.

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Jean Birnbaum : L'Islamo-gauchisme est l'idéologie des "faibles"

Source: Le Point - 20 Septembre 2018 - page 155 - Jean Birnbaum, propos recueillis par Clément Pétreault

Ces "faibles" qui nous aveuglent sur l'islamisme

Après "Un silence religieux", le journaliste et essayiste Jean Birnbaum publie "La religion des faibles" (Seuil), où il analyse pourquoi le terrorisme islamiste nous oblige à repenser ce qui constitue notre "nous". Et constate la faillite des valeurs universalistes d'une certaine gauche.

Pour l'essayiste Jean Birnbaum, journaliste au Monde, l'islamo-gauchisme est l'idéologie des "faibles qui nous aveuglent sur l'islamisme". Cette gauche est incapable de comprendre le phénomène djihadiste d'aujourd'hui, comme elle était incapable de comprendre dans les années 30 la montée du nazisme.

Ces esprits "faibles "font le choix de la collaboration avec les idéologies totalitaires par peur de la confrontation, plus encore par incapacité intellectuelle à y répondre.

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L'extrême gauche voit dans l'extrémiste islamiste le nouveau héros de la lutte contre la société libérale occidentale.

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La bourgeoisie intellectuelle d'extrême-gauche a abandonné la classe ouvrière après 1968, considérant qu'elle avait trahit en préférant la négociation sociale plutôt que la guerre civile.

L'islamo-gauchisme est né de la Révolution iranienne en 1979, lorsque la bourgeoisie intellectuelle d'extrême gauche a fait du "musulman" son nouvel "allié" dans sa lutte contre la "domination américaine" et contre la société libérale occidentale au sens large.

Pour un intellectuel d'extrême gauche, tout musulman ne peut qu'adhérer au combat de la "Révolution islamique" contre la domination occidentale.

Dans cette logique communautariste qui interdit le libre choix individuel, toute critique contre l'extrémisme musulman ne peut venir que des "islamophobes" en Occident, ou de "traîtres" si ces critiques sont exprimées à l'intérieur même de la société musulmane.

Source: Le Point n° 2403 - 20 Septembre 2018 - page 155 - Jean Birnbaum

Selon cette croyance progressiste, la foi religieuse était un archaïsme voué à disparaître. alors, les opprimés pouvaient bien emprunter tel ou tel "détour" religieux pour se révolter, ils finiraient tôt ou tard par se rallier aux Lumières. Non seulement la perspective du socialisme s'est éloigné, mais l'islamisme, partout où il a pris ses aises, a noyé dans le sang le mouvement ouvrier, féministe, démocratique.

La profonde inculture historique des islamo-gauchistes fait qu'ils ignorent que le FLN a éliminé les communistes dès l'indépendance de 1962, que les ayatollahs iraniens ont fait de même dès leur prise de pouvoir en 1979.

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Du collectivisme totalitaire au communautarisme : un même combat contre le libre arbitre

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Le collectivisme totalitaire ne faisant plus recette depuis l'effondrement du mur de Berlin et la libéralisation de la Chine, l'extrême gauche voit dans le communautarisme la nouvelle idéologie qui permet d'enlever à l'individu son libre arbitre et sa liberté de pensée.

Ce qui motive l'extrême gauche, c'est l'obsession d'éradiquer la possibilité du moindre choix individuel, pouvant remettre en cause sa volonté d'imposer un pouvoir qui ne peut être que totalitaire (élimination physique de ceux qui veulent penser autrement) et totalisante (comme les inquisiteurs du moyen âge, les intellectuels d'extrême gauche sont persuadés d'être les seuls à détenir la "vérité" dans leur lutte impitoyable du "bien" contre le "mal").

C'est ainsi que l'on voit cette vieille gauche trotskyste de 1968 béate d'admiration contre les vociférations racistes et homophobes des Indigènes de la République, invités aux universités d'été du Front de gauche.

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Christopher Hitchens dénonce la gauche collaborationiste de l'affaire Rushdie

Le Point - 18 Janvier 2018 - Brice Couturier

Brice Couturier : Pour les amis de Salman Rushdie , la fatwa lancée contre l'écrivain par l'ayatollah Khomeyni a été l'équivalent de nos attentats de Janvier 2015. L'évènement a scindé les gauches anglo-saxonnes en deux camps irréconciliables. L'affaire a été, pour Hitch, qui hébergea l'homme en fuite dans sa maison en 1993, un retour aux grands moments des années 1960.

"C'était, si je peux l'exprimer ainsi, une affaire mettant aux prises tout ce que je hais contre tout ce que j'aime. dans la colonne je hais : dictature, religion, stupidité, démagogie, censure, brutalité et intimidation. Dans la colonne j'aime : littérature, ironie, humour, la défense de l'individu et de la libre expression/ Avec, en plus, l'amitié". Et Hitch n'a jamais pardonné à ceux qui, au lieu de faire bloc autour de la victime, comme l'intrépide Susan Sontag, ont préféré plus habile de jeter la pierre à l'auteur des "Versets sataniques". Dans ses mémoires "Hitch-22", il dit combattre sur deux fronts à la fois. Contre l'absolutisme de ceux qui s'imaginent en possession d'une vérité tellement définitive qu'ils se croient autorisés à l'imposer à l'humanité. "Ce sont ceux et uniquement ceux qui souhaitent changer les individus qui finissent par les brûler, tels le résidus d'une expérience ratée". Mais aussi contre le relativisme. L'idéologie multiculturaliste qui incline à tolérer chez d'autres ce qu'on ne supporterait pas des siens.  

La gauche médiatique a étouffé les crimes contre les éditeurs et les journalistes lors de l'affaire Rushdie

Cristopher Hitchens : "Des équipes de tueurs religieux, avec l'appui logistique d'ambassades iraniennes, ont fait un certain nombre de tentatives pour assassiner Rushdie. Son traducteur italien a été blessé lors d'une traduction et son traducteur japonais, tué, après avoir été sauvagement mutilé. Son éditeur Norvégien, laissé pour mort dans la neige, après avoir reçu dans le dos plusieurs balles de fusil, a eu la chance inouïe d'en réchapper. Pareil homicide, commandité par un Etat et visant un individu isolé et pacifique dont la vie est consacrée au langage,  ne pouvait manquer, me direz-vous, de susciter une condamnation générale. Eh bien, pas du tout. " 

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Pascal Bruckner : L'accusation " d'islamophobie " vise à faire taire toute critique contre l'islam

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L'accusation d'islamophobie : le rétablissement du délit de blasphème aboli en 1791

Le Figaro - 11 Février 2017

""Parler d'islamophobie, c'est pratiquer un double amalgame : c'est confondre la peur avec la haine, la persécution des croyants avec la remise en cause des croyances. La première est un délit, la seconde un droit absolu. La critique des religions est un acquis des Lumières. En particulier en France, où une grande partie de la littérature, de la philosophie, témoigne depuis 4 siècles d'un esprit de satire vis-à-vis des clercs et de l'Eglise. On voudrait ainsi rétablir le délit de blasphème aboli en 1791."

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L'accusation d'islamophobie : faire taire les musulmans réformateurs ou libéraux

Le Figaro - 11 Février 2017

"L'islamophobie" remplit une double fonction :

  • Faire taire les Occidentaux, coupables de propager la liberté de penser,
  • mais surtout forger un outil de politique interne à l'égard des musulmans réformateurs ou libéraux."

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Les associations contre l'islamophobie sont les collaborateurs des mouvements intégristes islamiques

Le Figaro - 11 Février 2017

"Les véritables "islamophobes" ne sont autres que les membres de Daech ou d'al-Qaïda qui massacrent leurs coreligionnaires par milliers. Si les associations contre "l'islamophobie" étaient cohérentes, elles poursuivraient en justice Daech, al-Qaida, les Frères musulmans ou Boko-Haram."

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Le "djihad juridique"

Le Figaro - 11 Février 2017

Deux associations qui avaient attaqué Pascal Bruckner pour diffamation ont été déboutées par la justice.

"Ce procès est lié à des propos tenus après les attentats de Charlie Hebdo sur le plateau de "28 minutes" sur Arte. J'ai dit qu'il fallait faire l'historique des responsables des assassinats, et j'ai cité, parmi beaucoup d'autres, les Indigènes de la République et Les Indivisibles, rappelant qu'ils avaient préparé idéologiquement le meurtre des 12 journalistes.... Six mois après j'ai reçu deux assignations au tribunal de diffamation. Un procès c'est à la fois la honte d'être montré du doigt, une forme de pression financière - prendre un avocat coûte cher -, et une épreuve psychologique. ....

....On doit pouvoir s'exprimer sans être traîné devant les tribunaux, c'est le "djihad juridique", ou menacé physiquement. L'accusation d'islamophobie peut vous valoir mise à mort et entraîner des esprits fanatisés à se faire justice eux mêmes, au nom de Dieu.....

....L'antiracisme est devenu un mouvement devenu fou qui exerce une véritable police de la pensée et du langage. Désormais, lorsqu'on parle en public, il faut peser chaque mot au trébuchet....La novlangue juridique finit par être une entrave à la liberté d'expression et même de penser. Tout le monde est sous la surveillance de tous. De grandes oreilles nous écoutent et guettent le lapsus ou le mot malheureux qui peut précipiter un honnête homme dans l'enfer."

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Le "Djihad juridique" pour faire taire les intellectuels est financé par l'argent public

Toutes les associations "anti-racistes" bénéficient de très importants financements publics, l'hémorragie des militants ayant réduit à presque rien l'apport de financements privés. Selon Pascal Bruckner "l'antiracisme est devenu un marché judiciaire" où les associations "anti-racistes", c'est à dire anti-françaises et anti-républicaines, sortent systématiquement gagnantes :

"L'antiracisme est devenu un marché judiciaire, où des associations microscopiques acquièrent une certaine visibilité en intentant des procès à tort et à travers".

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Le think tank Terra Nova a institutionnalisé le communautarisme

Le Figaro 11 Février 2017

"L'antiracisme est devenu la religion civile de notre siècle, parce qu'il a remplacé la lutte des classes par la lutte des races. Cette évolution a été théorisée par le rapport du think tank de gauche Terra Nova en 2010 : remarquant que la classe ouvrière était devenue conservatrice et embourgeoisée, il préconisait pour le Parti Socialiste de faire alliance avec les bobos des centre-villes et les jeunes de banlieue issus de l'immigration. Ainsi, la gauche, abandonnant les luttes sociales et la défense de la nation, entrait-elle dans une vision communautariste de la France, devenue une collection de minorités dont on tente d'attirer les suffrages lors des élections. Avec pour conséquence de "victimiser" les catégories courtisées. On assiste alors à une sorte de transmission hériditaire du statut de victime - il n'y a plus que des descendants d'esclaves ou de colonisés -, et sur l'autre bord, à une transmission héréditaire du statut d'oppresseur : "le Blanc" devient suspect par nature comme on a pu le voir l'été dernier avec les "camps décoloniaux" interdits aux Blancs....

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L'absurdité du politiquement correct

Le Figaro 11 Février 2017

""L'antiracisme exhume presque chaque jour une nouvelle catégorie discriminée. La dernière en date est la "pauvrophobie". Mal parler des pauvres peut désormais vous exposer aux poursuites. Or les pauvres en question aspirent surtout à sortir de leur condition. L'absurdité du politiquement correct est qu'il ne travaille pas à la transformation concrète des catégories supposées "opprimées", mais à la mise en place d'une sorte de glacis linguistique. C'est un cataplasme pour ne pas traiter les problèmes. Il traduit se moment très particulier ou l'on renonce à changer les choses pour se contenter de les requalifier autrement".

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Réquisitoire de Philippe Val (Charlie Hebdo) contre l'extrême gauche "rouge-brun"

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Dans son livre "C'était Charlie" , Philippe Val livre un réquisitoire implacable contre les dérives de sa famille politique : la gauche.

Le gauchisme, par peur d'affronter les nazi-islamistes, insultent leurs victimes.

"Beaucoup de gens ont peur et il y a de quoi. Mais ceux qui masquent leur crainte en condamnant Charlie ou en dénonçant la prétendue islamophobie le font par démagogie, en espérant vainement et plus ou moins consciemment échapper au danger".

Mépris du peuple et racisme culturel envers la communauté musulmane

"Cette gauche qui prétend défendre le peuple le méprise en réalité. Elle le juge incapable d'exercer son libre arbitre. C'est le pire des racismes. J'accuse les soi-disant défenseurs de la communauté musulmane d'être des racistes. Avant d'être musulmans, nous avons d'abord en commun notre humanité."

Le négationisme du massacre des musulmans par les Serbes dans les années 90.

"Un certain nombre de ceux qui soutenaient inconditionnellement la Serbie et n'avaient pas de mots assez durs pour ridiculiser ceux qui, comme nous à Charlie Hebdo, alertaient sur le sort des musulmans font aujourd'hui partie du coeur qui hurle à l'islamophobie dès que l'on s'interroge sur les dérives nazies de l'islam radical."

"Le rouge-brunisme" instrumentalise l'islam

"Ils trouvaient normal que des musulmans se fassent massacrer par des miliciens qui rêvaient de pureté ethnique. Aujourd'hui, ils sont devenus les avocats d'un islam qui nourrit dans sa frange extrême des tueurs qui rêvent d'éliminer les juifs et les chrétiens."

"La gauche antisionisme, anticapitalisme, cette gauche qui voit dans l'islam la religion des opprimés est devenue majoritaire dans le milieu médiatico-intellectuel français."

Fascination pour la barbarie

"Il doit y avoir chez nombre de nos intellectuels français une discrète fascination pour la barbarie. Finalement, qu'on soit laïque, musulman, catholique, criminel contre l'humanité, tortionnaire et violeur, ça ne les gène pas. Ce qui détermine leur adhésion, c'est le rôle présumé de l'Amérique et d'Israël."

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Gabriel Martinez-Gros : le tiers-mondisme a une vision du monde néo-coloniale.

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Source : Le Point 1e Septembre 2016

Il faut sortir du discours victimaire, selon lequel tout serait la faute de l'Occident et de la colonisation. C'est le credo fondamental du tiers-mondisme, pour qui il n'est pas d'Histoire hors de celle de l'Occident, à la fois dominante et criminelle. C'est à mes yeux un impérialisme de la culpabilité, un néocolonialisme de la repentance qui sous-entend que l'Islam n'a pas d'histoire, ce qui est évidemment faux. Ensuite, c'est oublier que les plus radicaux (des islamistes) sont très fiers de leur violence. L'Islam de geint pas, il se bat et triomphe. Les djihadistes estiment appartenir à une élite religieuse et militaire. Ils se moquent bien des bons sentiments du troupeau sédentaire. C'est ce qui les sépare fondamentalement des nazis : ils n'ont pas besoin des masses"

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Source : Le Point 20 Septembre 2008 - page 157 -

L'un des articles de foi de "la religion des faibles" est : tout commence avec le colonialisme et tout y revient; l'Occident est le seul acteur historique, l'unique cause de tout. D'où ce résultat paradoxal : au nom de la lutte contre la domination occidentale, le postcolonialisme vulgaire réduit l'Orient à Néant !

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Goldnadel : "L'islamo-gauchisme a contaminé les esprits"

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Gilles - William Goldnadel - Le Figaro Magazine - 30 Juin 2017 - Avocat et essayiste Gilles - William Goldanel

La complaisance du journal Le Monde pour les thèses racistes du Parti des Indigènes de la République

Houria Bouteldja et son Parti des Indigènes de la République incarnent ce qui se fait de plus racialiste et anti-occidental dans la galaxie islamiste. Ce sont eux qui ont édité un petit livre dont le titre est Nique la France ! (Selon les Indigènes de la République) la race existe, et le métissage est abhorré. Le Blanc occidental est détestable parce qu'il est coupable d'avoir asservi les autres races. Le juif est particulièrement honni, d'ailleurs Mme Bouteldja s'exhibe sur une photographie à côté du slogan "Les sionistes au goulag".

Quand le Monde accepte de publier une pétition en soutien à Mme Bouteldja, cela indique précisément que ses thèses ont droit de cité dans son univers policé. Le Monde ne publierait pas une pétition en faveur de Marine Le Pen, mais la position des Indigènes, pourtant clairement raciste anti occidentale, est défendable, donc respectable. C'est dans cette indulgence bienveillante que la haine creuse son nid.

La ligue des droits de l'homme contaminée par l'Islamo-gauchisme

La Ligue des Droits de l'homme, autrefois laïcarde, mais qui défend aujourd'hui bec et ongles le voile et qui montre plus de sollicitude envers les droits des terroristes islamistes que pour ceux des victimes .

Le "Nique la France" de Danièle Obono, députée de la France Insoumise

Danièle Obono, députée de la France insoumise, défend sur une radio nationale le droit de dire "Nique la France" tout en s'interrogeant sur les raisons de dire "Vive la France".

C'est la France occidentale qui leur est détestable. Mais, encore une fois, dans le creux de cette détestation, au-delà de la victimisation raciale de celle qui "nique la France" et dans la culpabilisation pour racisme e ceux qui osent le lui reprocher, se niche profondèment le racisme anti-blanc.

Ceux qui défendent Houria Bouteldja sont aussi ceux qui traînent Zemmour devant les tribunaux

Cette idéologie a dans son ADN une morale à géométrie variable : les mêmes qui revendiquent religieusement la liberté d'expression vont traquer policièrement chez leurs adversaires fascisés le tréma ou le point-virgule. N'essayez pas de trouver une logique rationnelle là où j'ai diagnostiqué une névrose obsessionnelle.

Les mouvements racistes des islamo-gauchistes ne sont jamais inquiétés par les tribunaux

Le parquet s'est saisi d'office pour poursuivre Georges Bensoussan, qui avait osé mettre en cause l'antisémitisme islamique, alors qu'il  a refusé de poursuivre les distributeurs d'ouvrages islamiques promulguant l'assassinat des juifs.  

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Gilles-William Goldnadel - Figaro Vox - 22 Mai 2017

La direction de la chaîne culturelle franco-allemande a censuré un documentaire sur l'antisémitisme en Europe. Seul motif: la haine antijuive arabo-musulmane était trop mise en lumière.

Le CSA ouvre des dossiers d'instructions contre ceux qui dénoncent le racisme antisémite et anti-occidendal dans les sociétés musulmanes contemporaines.

Le CSA avait décidé d'ouvrir l'instruction d'un dossier à l'encontre d'Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro, pour avoir osé reprendre sur la chaîne C News, le sondage de l'institut Montaigne démontrant que «27 % des Français musulmans et 50 % des jeunes musulmans des cités se réclamaient au bout du compte de l'idéologie de l'État islamique»

C'est le même CSA qui s'était saisi des propos de Georges Bensoussan sur l'antisémitisme islamique tenus dans le cadre de l'émission «Réplique» animée par Alain Finkielkraut sur France Culture.

L'indifférence vis-à-vis de la mort de Sarah Halimi » révèle l'ampleur de la contamination de l'idéologie de l'islamo-gauchisme dans le monde intellectuel, politique et médiatique.

Le 4 Avril 2017, Sarah Halimi, 65 ans, a été longuement frappée puis défenestrée par un voisin musulman radical de 27 ans.

"L'assassin présente le profil classique des criminels islamistes habituels: petit caïd bien connu des services de police du 11e arrondissement pour ses multiples condamnations, lui et sa bande faisaient régner la peur dans le quartier Bastille-Vaucouleurs.

À plusieurs reprises, il avait insulté sa victime, qui le craignait, en la traitant de «sale juive».

De multiples témoins et voisins attestent avoir entendu «Allah Akbar!» tandis qu'il s'acharnait sans fin sur la malheureuse.

Je dois encore constater, qu'alors que cet assassin exalté ne présentait aucun antécédent psychiatrique, en pleine période électorale, le processus habituel de psychiatrisation de l'assassin islamiste a été adopté. Celui-ci se trouve en conséquence dans un établissement de soins fermé et non une prison."

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L'extrême gauche violente évince les humanitaires venant en aide aux migrants, pour s'opposer à toutes solutions concrètes et créer un climat insurrectionnel.

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Le Figaro Magazine - 30 Juin 2017

Natacha Bouchart, la maire de Calais, déclare avoir entretenu d'excellentes relations avec les associations présentes à l'Auberge des Migrants jusqu'en 2012. "A partir de cette période, le lieu a été investi par des militants d'extrême gauche. Il est alors devenu impossible de dialoguer et de travailler ensemble. Des activistes comme Utopia 56 et des No Borders ne sont arrivés que très récemment" .

L'élue dénonce une attitude systématiquement provocatrice et raconte avec amertume comment, pendant les élections et en particulire lors du deuxième tour de la présidentielle opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen, les distributions se sont faites, selon elle, plus nombreuses et surtout plus visibles. "Les extrêmes se rejoignent. Ils voulaient exaspérer la population pour la pousser à voter Front National, pour ne plus laisser d'espace dans ce pays qu'aux deux extrêmes. Ils instrumentalisent ces pauvres gens. Ils les poussent à être dans la provocation avec les forces de l'ordre. Leur seul intérêt, c'est le chaos. Ils distribuent des repas, mais n'orientent pas leurs bénéficiaires vers des structures qui pourraient les aider à trouver des solutions concrètes à leurs problèmes. Bien au contraire, ils ont intérêt à ce que les migrants restent dans la misère car, sans leur souffrance, ils n'ont plus de légitimité, plus d'exposition médiatique et donc plus de raison d'exister."

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Bibliographie

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Un silence religieux - Jean Birnbaum

La religion des faibles - Jean Birnbaum


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